• Voici un extrait d'un article publié par un Rabbi que je trouve très riche d’enseignements et que je choisis de partager avec vous.

     

    " Les mystères sont à יﬣוﬣ, notre Élohîm ; les découvrements  à nous et à nos fils en pérennité, pour faire toutes les paroles de cette Tora." Devarim 29 : 28

    Qui est Israël ? De l'hébreu Yashar El - qui va tout droit vers El - Israël, le Lutteur d'El, "celui qui a jouté avec les puissances célestes et terrestres et qui a pu", est ainsi l'identité de l'homme qui entend la Voix (ou la Parole = Yeshoua Ha Mashiah) d'Elohim, qui y adhère et la met en pratique. Alors que signifie mettre en pratique sa Parole ? Yediyîm, l'Ecrit (la lettre) est un pan de la révélation d'Elohim, mais la Parole révélée (la Vérité qui rend libre ses auditeurs) est ce qu'il faut mettre en pratique. 

    Les Neviîm Moshé (Moïse), Yirmeyahou (Jérémie), Yeshayahou (Esaïe), Mikhaya (Michée), Hoshéa (Osée), Daniel, ont tous écrit, en leur temps, des choses qu'ils avaient entendues de la part d'Elohîm... Les "il est écrit", "il est écrit" constituent pour les talmidîm un certain niveau de révélation de la Volonté d'Elohim, mais entendre la Parole d'Elohim de façon audible est LE NIVEAU DE REVELATION A ATTEINDRE, le niveau même des élus, des Bnéi Elohim. C'est ce que manifestait le Maître Yeshoua en disant: "les mots que je dis ne sont pas de moi, mais du Père qui oeuvre en moi". 

    C'est cette Parole ou cette Tora (le mot hébreu Tora signifie "Révélation" dans le sens de "comment ça marche?" ou "comment ça fonctionne ?") qu'il faut chercher à entendre et ensuite mettre en pratique. Or, de cette Parole de Vie, cette Tora, beaucoup qui se réclament du Messie en sont privés ou s'en privent inconsciemment, étant encore influencés par les paroles de l'adversaire (la corruption sémantique des Ecrits Sacrés).... 

    C'est l'écoute de cette Parole qu'enseigne allégoriquement le sommet de l'engagement spirituel d’Israël, le Shéma Israël :

    "Shema Israel, (entends Israël) יﬣוﬣ Elohéinou (notre Elohîm)יﬣוﬣ ehad (Un)".

    Celui qui colle à Yeshoua Ha Mashiah (la Parole créatrice qui octroie à ses auditeurs le don du Rouah Ha Kodesh, le souffle de Vérité) fait éhad avec Elohîm le Père. N'est ce pas que le Souffle d'Elohîm ou encore les messagers célestes orientaient tout le temps par la "Parole révélée" les frères de la Kéhila (l'assemblée) Primitive dans leurs décisions ? 

    Le talmid (le disciple) du Maître Yeshoua Ha Mashiah est assisté dans sa marche par la révélation, la Tora d'Elohîm inscrite sur le coeur. Cette Parole (Yeshoua) lui donne des instructions, des prescriptions, des enseignements, des jugements, des ordonnances à observer pour mener à bien la réalisation de la Volonté d'Elohîm depuis les ciels sur la terre. Le talmid est assisté dans sa tâche par une armée céleste composée de malakhîm !

    Ainsi donc lorsque le Yehoudi, l'homme renouvelé par le Souffle d'Elohîm, parle, c'est Elohîm qui parle. Tant qu'il obéit à la Parole révélée, il ne peut aller à l'encontre des écrits même sans ouvrir les livres de la Tora ou les textes de la Bessora Tova, car le Souffle est UN. C'est la raison pour laquelle les disciples du Maître Yeshoua sont aussi appelés Bnéi Elohim. 

    Le terme "Ben" en hébreu signifie à la ressemblance de, en communion avec, en dépendance de. "Ben" ne désigne donc pas forcément le fils biologique, d'autant plus qu'Elohîm est aussi le Père de toute la création.

    A la ressemblance de "Celui qui a vaincu pour siéger sur le trône", le Rabbi Yeshoua, les frères consacrés ont aussi autorité et domination sur toute l'oeuvre des mains du Père céleste : les volatiles du ciel, ceux qui se meuvent dans les mers, les animaux des champs (de même que les hommes qui se comportent comme des animaux) et même les reptiles qui rampent sur la terre (la race de Ha Satân, notre adversaire).

    Tout ceci n'est rendu possible que par "l'entendre" de la Parole révélée. Et cette connexion avec Elohîm le Père s'entretient dans la téfila, la vraie, et dans le jeûne et la contemplation. Toutefois quand nous parlons de téfila nous ne parlons pas des vaines parlottes, exercice dans lequel excellent les chrétiens modernes. Loin s'en faut ! Lorsque nous parlons de prière, nous parlons de la mystérieuse téfila laissée par le Maître aux Shelihîm - celle qui permet d'accéder aux sphères élevées de la Malkhout d'Elohim.

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Yéshoua Ha Mashiah, Ben David, Ben YAH Sébaot, Mitsouyann.

    Le Messie d’Israël [est] parfait

    • Yéshoua Ha Mashiah est Roi du Royaume "Olam"1 à venir (Israël). Si nous adhérons à cet enseignement, à quoi sert notre travail dans la course effrénée vers  l'orgueil qu'offre un monde voué à la perdition?
    • Yéshoua Ha Mashiah est le mystère dans lequel sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la science. Dès lors que cherchons-nous à travers la fausse science qui est inspirée des souffles contaminés (esprits séducteurs)?
    • Il n'y a rien de plus grand, rien de plus merveilleux, que le don de la vie qui est en le Mashiah Yéshoua.
    • Toutes les préoccupations de l'humanité trouvent leurs solutions en le Messie d'Israël. 
    • Toutes les questions que se pose l'humain, trouvent leurs réponses en le Messie d'Israël.
    • Le dessein de Elohîm, le créateur de toutes choses, manifesté en son Fils le Messie, est parfait. Que sert-il de mener des études sur les conditions de vie de l'humain?  Croyons nous que Elohîm le Suprême peut accorder à l'humain des dons en dehors de son Fils le Messie qui est parfait? 

     

    "C'est lui que nous annonçons, exhorant tout homme,
    enseignant tout homme en toute sagesse, pour présenter tout homme parfait dans le messie".
     Colossiens 1: 28

     

    "léshoua' répond et lui dit : « Qui boit cette eau a soif à nouveau. Mais qui boit cette eau que moi je lui donne n'a plus soif en pérennité, car l'eau que je lui donne devient en lui source d'eau jaillissante pour la vie en pérennité." Iohanân 4:13-14

    • Nous devons comprendre que tout ce qui n'est pas inspiré/motivé par le Rouach Kodèsh (Souffle Kodèsh), le Souffle de Vérité, n'est que séduction et illusion.
    • Tout ce qui n'est pas en le Messie n'est qu'un mensonge inspiré par le séducteur de ce siècle.
    "Mais si notre annonce est voilée, c'est pour les perdus qu'elle est voilée, ceux dont l'Elohîm de cette ère a aveuglé les pensées, ceux qui n'adhèrent pas, de peur que ne brille pour eux l'illumination annonçant la gloire du messie, lui-même image d'Elohîm." 2Corinthiens4: 3-4
    • Prenons conscience de l'aveuglement satanique du monde et travaillons pour  retourner à la lumière, la vraie, la Parole de Elohîm Sébaot.

     

    "La lumière, la vraie, qui éclaire tout homme venant dans l'univers, lui, dans l'univers, et l'univers est engendré par lui et l'univers ne l'a pas connu". Iohanân 1: 9-10

    1 - En hébreu l'expression "Olam" désigne un âge au-delà, invariable et secret, que Elohîm le Très-Haut se réserve pour lui-même.  

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Il m'a semblé bon d'attirer l'attention de tous ceux qui scrutent les écrits  kodeshim d’Israël sur un concept fondamental qui, en raison d'un manque d'élucidation, cause de beaucoup de confusion dans les cercles religieux du christianisme : la Parole de Elohîm.  

    Qu'est-ce que la Parole de Elohîm?

    Ce concept est très mal compris du grand public. Ceci n'est pas étonnant car, lors de la traduction des écrits kodeshim d’Israël de l'hébreux vers les langues indo-européennes, beaucoup d'erreurs d'interprétation ont engendré de mauvaises compréhensions qui se perpétuent malheureusement jusqu'à ce jour.

    Lorsque l'on pose la question de savoir ce qu'est la Parole de Elohîm, l'on a toujours tendance à répondre comme un automate : "La Parole de Elohîm c'est Yéshoua". Mais comprenons-nous ce qu'est véritablement la Parole de Elohîm? Quand il est écrit que Yéshoua est la Parole de Elohîm, pénétrons-nous cet enseignement?

    Je voudrais à ce sujet partager tout d'abord cet extrait de l'écrit d'un rabbi de la communauté judaïque messianique :  

    "Dans les Ecrits de la Bessora Tova (l’Evangile), on remarque que l’Adôn Yéshoua, pour parler de son Père, utilise volontiers non pas le nom ineffable YHVH (Hashem Adonaï) mais lui préfère Elohîm, le Père. En effet, l’Adôn Yéshoua avait conscience que toute la plénitude des forces créatrices réunies dans le Rouah Ha Kodèsh, le Souffle d’Elohîm ou le Souffle de Vérité, résidait en lui, prenant de fait part à la nature d’Elohîm. D’où l’attribut de Ben Elohîm – Fils d’Elohîm - à lui donné.

    En effet, dans les Ecrits inspirés (katouvim kodeshim), plus précisément dans la lettre aux Hébreux, on remarque qu’Elohîm le Père appelle aussi son Fils, Elohîm :« Mais pour le Fils (Elohîm le Père dit) : "Ton trône, Elohîm, pour les pérennités de pérennités, verge de rectitude, la verge de ton Royaume. Tu as aimé la justice, tu as haï la non-Tora; aussi Elohîm, ton Elohîm, t’a messié à l’huile d’exultation plutôt que tes compagnons." » (Hébreux 1: 6-9)

    Le Mashiah Yéshoua, comme l’indique son Nom, est la droite par laquelle Elohîm sauve l’humanité. L’Adôn Yéshoua est le canal d’expression par excellence d’Elohîm. Yéshoua est, pour ainsi dire, le corps d’Elohîm. Oui, Elohîm est la tête qui veut, pense et ordonne. Et Yéshoua, lui, est le corps qui agit, selon qu’il est écrit « Mais je veux que vous le sachiez: la tête de tout homme, c’est le messie; la tête de la femme, c’est l’homme; la tête du messie, c’est Elohîm.» (1 Corinthiens 11, 3). C’est ce mystère-là qu’explique Yohanân en ces termes assez mystérieux« Entête, lui, le logos et le logos, lui, pour Elohîm, et le logos, lui, Elohîm (…) Le logos est devenu chair. Il a planté sa tente parmi nous... Nous avons contemplé sa gloire, gloire comme celle d’un fils unique auprès du père, plein de chérissement et de vérité.» (Yohanân 1 : 1 ; 14).

    Logos signifie « parole vivante » en grec. Il traduit le mot « davar » en hébreu. Et « davar » en hébreu signifie également « objet ». Un autre mot hébreu possède aussi le sens d’objet : « khéphets » (lire réfets) et signifie également « désir ». Dans la pensée hébraïque, un objet, une chose, une création est avant tout un désir qui est voulu, pensé et enfin réalisé. C’est la réalisation d’un désir, d’une pensée qui est une « parole vivante » en hébreu.

    Le Mashiah, dans la pensée juive, était censé incarner toute la puissance d’Elohîm pour sauver le peuple élu, le peuple kodèsh. C’est ce qui s’est fort heureusement réalisé avec l’Adôn Yéshoua, qui par son sacrifice sur la croix, a affranchi ses frères (les élus) du pouvoir de la faute et de la chair.

    Elohîm est Souffle, selon qu’il est aussi écrit : « Elohîm est souffle : ceux qui se prosternent devant lui doivent se prosterner dans le souffle et la vérité. » (Jean 4, 24).

    Or le souffle, en hébreu « Rouah »,  est une énergie, LA VOLONTE.  « Ce qui naît de la chair est chair; ce qui naît du souffle est souffle. Ne t’étonne pas que je te dise : vous devez naître d’en haut. Il souffle où il veut, le souffle, et tu entends sa voix. Mais tu ne sais pas d’où il vient ni où il va; ainsi de tout natif du souffle. » (Yohanân 3 : 6-8)."

    Le Mashiah Yéshoua est la Parole Vivante (souffle, énergie, volonté/désir) de Elohîm. C'est pour ainsi dire le canal par lequel Elohîm le Suprême révèle son vouloir à l'humain. C'est un souffle vivant qui communique la pensée de El Elyon le Créateur.

    Cet héritage, ô combien précieux, a été perdu depuis l'extinction des premiers disciples de l'Adôn Yéshoua. Nous devons le rechercher. Il ne s'agit pas de revenir aux textes originaux comme certains le prétendent, nullement. C'est à la source révélatrice, le Rouah Ha Kodèsh (Souffle de Elohîm), qu'il faut revenir. La Parole de Elohîm c'est pas les écrits kodeshim. Les écrits  kodeshim ne contiennent pas la vie, c'est en la Parole de Elohîm qu'est la vie. Quand bien même nous serions de nouveau en présence des  écrits kodeshim d'origine, nous ne pouvons percevoir l'enseignement qu'ils contiennent que si nous sommes inspirés par le Rouah Ha Kodèsh. C'est le Souffle Kodèsh  qui est la Parole Vivante de Elohîm. Cette Parole est incorruptible; alors que les écrits ou les discours sont corruptibles. 

    "Mais quand celui-ci viendra, lui, le souffle de vérité, il vous fera cheminer dans la vérité tout entière. Il ne parlera pas de lui-même; mais tout ce qu'il aura entendu, il le dira; et ce qui vient, il vous l'annoncera." Yohanân 16 : 13

    C'est la rupture d'avec cette source  (le Souffle de Vérité, la Parole de Elohîm) qui est à l'origine de la première apostasie constatée dans la Quéhiyllah (Assemblée) du Mashiah Yéshoua. Tout comme Israël du pacte ancien, les traîtres de l’alliance ont abandonné leur maître qui les a rachetés, pour se creuser des citernes crevassées qui ne retiennent pas l'eau (Irmeyahou 2 : 13; Ieyouda (Jude) 4, 11).  Cette rébellion a entraîné la naissance d'une "église" historique qui par soucis d’orthodoxie et de pouvoir et animée par le souffle de l'anti-messie, imposait et entérinait ses dogmes erronés dès les premiers siècles. Ces erreurs sont toujours et encore la structure basique des crédos de l’écrasante majorité des « chrétiens ». Nous devrons nous débarrasser de ces monumentaux égarements, digérés telle une seconde nature, et seul le Souffle de Vérité peut nous y conduire. La foi est l’adhésion au Vrai Élohîm, l’Élohîm d’Israël, par la Parole concrète du Fils, c'est-à-dire le Souffle de Vérité, et non pas les « évolutions » prescrites à posteriori par l’église auto déclarée qui au  4ème siècle a introduit et entériné des dogmes majeurs en désaccord avec les écrits kodeshim.


    Comprenons que tant que nous ne sommes pas en reconnexion avec le Souffle kodèsh, le Souffle de vérité, il nous est impossible de pénétrer la pensée profonde de notre Créateur au moment où nous lisons les écrits kodeshim.

    La Parole de Élohîm est la Tora (instruction) qui émane de El Elyon le Suprême, et cette Parole n'est communiquée que par son Souffle kodèsh, Souffle de Vérité. Toute instruction qui n'émane pas de YHWH le Créateur n'est que mensonge.

    Une fois de plus, j'attire ici l'attention de tous ceux qui s'appuient sur les textes kodeshim et s'autoproclament pasteurs/évêques, tout en tordant le sens des écrits kodeshim en divulguant leurs pensées qu'ils prennent pour la Parole de Élohîm. Élohîm est aussi un feu dévorant!

    "Et voici le jugement : la lumière est venue dans l'univers ; les hommes ont mieux aimé la ténèbre que la lumière. Oui, leurs œuvres étaient criminelles." Yohanân 3 : 19

    Sortons des ténèbres dans lesquelles les cercles vicieux de la religion nous ont confinés et crions à יﬣוﬣ afin qu'il répande de nouveau sa Parole de Vérité dans l'univers. C'est le bien le plus précieux et le véritable héritage dont nous devions être en quête tous les jours de notre existence.

    Il est écrit : " ...Vous avez été régénérés par une semence, non pas corruptible, mais incorruptible, à travers la Parole d'Elohîm, vivante, qui demeure..." 1 Petros 1 : 23

    Ce texte est adressé à ceux qui ont ouï la Parole Vivante de Élohîm et qui ont adhéré. Leur foi (adhérence) était fondée non pas sur les dires d'homme, mais sur la puissance de Élohîm, ainsi que le confirme le sheliah Paulos : "Et ma parole, mon kérygme, ce ne furent pas des paroles convaincantes de sagesse, mais une démonstration de souffle et de puissance, pour que votre adhérence ne soit pas dans la sagesse des hommes, mais sous la puissance d’Élohîm". 1 Corinthiens 2: 4-5.

    Il est aisé de comprendre que c'est la Parole de Élohîm qui donne la vie, et cette Parole ne peut être portée que par ceux que Élohîm a oint pour faire ce service. Cette capacité ne vient que du Suprême d'Israël et de lui seul. Paulos Ha Sheliah ainsi que Petros Ha Sheliah le confirment bien dans ces extraits de leurs lettres aux communautés : 

    "Vous êtes manifestement une lettre du messie procurée par nous et écrite, non pas avec de l'encre, mais par le souffle d'Elohîm, le vivant; non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, les cœurs. Une telle confiance, nous l'avons par le messie, devant Elohîm. Non que nous soyons capables de rien estimer comme venant de nous, toute notre capacité ne venant que d'Elohîm, qui nous a rendus capables de servir le pacte neuf, non par la lettre, mais par le souffle, car la lettre tue, mais le souffle vivifie." 2 Corinthiens 3 : 3-6

    "Si quelqu'un parle, que ce soit comme parole d'Elohîm; si quelqu'un sert, que ce soit par la force que fournit Elohîm, pour qu'Elohîm soit glorifié en tout, par léshoua, le messie, à qui sont la gloire et la puissance pour les pérennités de pérennités ! Amén !" 1 Petros 4 : 11.

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • J'ai choisi de partager avec vous cet article tiré du bloc d'un rabbi de la communauté des judaïques messianiques. Même si j'apprécie beaucoup de choses qui y sont dites, certaines déclarations me laissent cependant perplexe. Alors attention! A prendre avec beaucoup de pincettes.

     

    A PROPOS DE LA VERSION DES SEPTANTE

     

    "Très vite après la fondation d'Alexandrie par Alexandre le Grand (-332 /-331) une population juive s'implanta et proliféra dans cette cité grecque à tel point que deux des cinq quartiers sont réservés aux descendants d'Abraham. Ils continuent à y parler la langue hébraïque et à étudier les textes de la bible hébraïque le Tanakh, composé pour l’essentiel par la Tora, les Inspirés et les Ecrits.

     

    Selon la lettre d'AristéeIIe siècle avant notre ère, les origines de la Septante serait due à l'initiative du fondateur de la Bibliothèque d'AlexandrieDémétrios de Phalère. Celui-ci suggéra au roi Ptolémée (le plus cultivé des rois hellénistiques) intéressé par la vie de ses sujets israélites d'ordonner la traduction en grec de tous les livres israélites, textes sacrés et narrations profanes.

     

    Ptolémée II Philadelphe (-309 / -246) est un pharaon égyptien de la période lagide qui a notamment concouru à réaliser le syncrétisme entre la civilisation grecque et égyptienne. Son surnom, Philadelphe, lui vient de l'amour qu'il aurait porté à sa sœur Arsinoé II qu'il épousa en secondes noces et qu'il divinisa à sa mort vers -271 en lui donnant le nom « Philadelphos » (celle qui aime son frère).

     

    Les savants juifs au nombre de 72 sont chargés de ce travail de traduction du Tanakh, la bible hébraïque qui, en leur honneur, porte le nom de Version des Septante.

     

    La tradition prétend que le souverain sacrificateur de Jérusalem, Él'azar, n'acquiesça à la demande de Ptolémée qu'à une condition : l'affranchissement par le monarque des six cent vingt mille Juifs de Judée que son père Ptolémée Soter avait fait prisonniers et réduits à l'esclavage en Égypte.

     

    Dans la version des Septante, fruit d’un véritable compromis entre juifs et hellènes, la diversité des désignations du Sacré d’Israël: El, Eloha, Elohim, El Shaddaï, El Sebaots etc. a été traduit, lors du passage en grec par Theos, mot se rapportant au plus grand des dieux grecs : Zeus Olympien, le Jupiter des Romains.

     

    En employant le mot THEOS, à l’époque d’Archimède, le Grec ne parlait pas du même sujet que nous, lorsque nous utilisons le mot DIEU. Il évoquait la figure allégorique ZEUS-JUPITER qui, par la mythologie, synthétisait les données de l’astronomie, tournées plutôt vers l’astrologie, celles des forces de la nature, des saisons et des climats, celles des phénomènes atmosphériques, météorologiques dirions-nous aujourd’hui, le tout localisé globalement dans le ciel, c’est-à-dire, très prosaïquement, au-dessus de la terre et des hommes.

     

    Le ZEUS-JUPITER-THEOS des Anciens les amenait à des spéculations intellectuelles et philosophiques. Au 4ème siècle avant notre ère, Aristote, pour ne citer que lui, en a tiré un concept qui a fait fortune.

     

    Il plaçait ZEUS hors de toute compréhension et de toute atteinte, dans l’immuable perfection de l’astronomie et de la géométrie combinées. Il l’insérait également dans la nature, intrinsèquement, en le confondant avec les lois physiques qui la régissent d’une manière rigoureuse et invariable. Le ZEUS idéal d’Aristote restait en définitive le grand inconnu.

     

    L’imagination, s’étant mise de la partie sur le vieux fonds ZEUS-JUPITER amélioré par le concept d’Aristote puis remodelé par une assimilation mythologique, a bientôt fait, de l’ancienne figure gréco-latine, le DIEU syncrétique dont nous avons hérité et que nous connaissons aujourd’hui. Un Dieu fourre-tout issu du mélange de plusieurs systèmes idéologiques ou religieux.

     

    Ce Dieu-là est devenu un auguste vieillard à barbe blanche, assis, non plus sur l’Olympe, mais sur quelques strato-cumulus, pour l’éternité, omniprésent, omniscient, omnipotent, immatériel et insaisissable, maître d’un monde qu’il administre par les lois physiques naturelles et par les lois morales.

     

    Cette image s’est infiltrée dans les théologies et les philosophies. Elle s’est même implantée dans la Bible ! Elle s’y est introduite par le biais des traductions. C’est ainsi qu’au IVème siècle, l’Eglise romaine avec la traduction latine, la Vulgate de Jérôme, couronna l’œuvre d’hellénisation du message biblique en remplaçant le tétragramme hébraïque « IHVH » par Deus, déclinaison latine du Zeus grec, qui donna en français "Dieu", mais aussi en changeant le nom du sauveur Iéshoua Ha Mashiah en Ièsus Christi, qui a donné Jésus-Christ en français.

     

    Or le nom, on ne vous apprend rien, entretient des relations complexes avec la personne qui le porte, il est même censé en décrire la nature profonde. Il peut parfois laisser présager son avenir. Cette coïncidence quasi-absolue entre la personnalité et le nom apparaît chez quelques personnages bibliques qui changèrent d'appellation : voir le cas de Ia’acob(Genèse/Entête. 27, 36) dont le nom est changé en Israël et qui veut dire « le lutteur d’El » (Genèse/Entête. 32, 29). Ia’acob lui-même modifiera le nom de l'un de ses fils (Genèse/Entête 35;19) signale que Biniamîn (fils de la droite) avait d'abord été Ben Oni (fils de ma transe, de ma détresse).

     

    Le nom Elohîm, en hébreu, est un terme qui implique une pluralité de majesté. C’est un intensif qui sert à indiquer une plénitude ou totalité de puissances. Il porte donc des sonorités qui évoquent un sens pluriel. Mais en réalité la forme plurielle de El ou Eloha, Elohîm, évoque le respect qui est voué au Suprême. Il n’est pas, comme le disent certains, un témoignage du polythéisme des anciens hébreux.

     

    La preuve est que dans Entête1, 1, (Genèse 1, 1) il n’est pas dit, Elohîm créèrent, mais Elohîm créait, "bara" étant au singulier ! Elohîm est le nom synthétique qui réunit toutes les perfections célestes. En même temps il indique la présence de plusieurs personnes : « faisons l’homme à notre réplique et selon notre ressemblance… »(Genèse/Entête.1, 26). Ou encore: « l’homme est devenu comme l’un de nous… »(Genèse/Entête.3, 22). 

     

    D’après l’ouvrage de Fabre D’olivet « La langue hébraïque restituée », Elohîm signifie très exactement « Lui-Eux-Qui-Sont ». Qu’est-ce à dire ? El’Elion, le Père Suprême (Lui) est secondé dans ses fonctions par Eux, une armée formée par une multitude d’êtres célestes dont certains sont des émanations individuelles de Ses caractéristiques, en l’occurrence les sept Messagers (Découvrement/ Apocalypse 8, 2), dont Gabriél (la Force de El) et Mikhaél (Qui est comme El ?) font partie et qui, avec un autre groupe d’êtres célestes, exécutent Sa volonté, chacun selon leur désignation et leur caractéristiques. Tous Sont parfaitement UN dans l’Amour. A eux s’applique à merveille le célèbre adage : « Un pour Tous et Tous pour Un ».

    C’est cette vérité qu’exprime le sommet de l’engagement religieux d’Israël :Shéma Israél : Ieohah elohéïnou Ieohah éhad, que Chouraqui traduit par : « Entends, Israël, IHVH-Adonaï, notre Elohîms, IHVH-Adonaï un. »(Paroles/ Deutéronome 6, 4).On comprend donc qu’aucun Eloha n’agit de son propre chef. Ils sont tous membres du corps d’Elohîm, et œuvrent par conséquent pour sa seule et unique gloire. L’image évoque une totalité organisée, unie et obéissant à un même Chef : El Elion, El le Suprême.

    La Communauté des Consacrés au Suprême –ce que les traductions occidentales ont appelé Eglise, du grec ecclésia- est l’image visible du modèle céleste d’Elohîm. Aucun consacré ne recherche son intérêt propre, ni sa propre gloire. Tout ce que chacun fait, est fait dans le seul intérêt et la seule gloire de l’Adon Iéshoua.

    Les Consacrés sont ainsi les membres du corps dont le messie est la tête. Ils sont parfaitement UN comme Iéshoua et le Père sont UN : « Qu’ils soient tous un, comme toi, père, en moi, et moi en toi, pour qu’eux aussi soient un en nous. Ainsi l’univers adhérera à ce que, toi, tu m’as envoyé. Et moi, je leur ai donné la gloire que tu m’as donnée, pour qu’ils soient un comme nous un; moi en eux et toi en moi, pour qu’ils soient parfaits en unité, pour que l’univers sache que tu m’as envoyé, et que tu les aimes comme tu m’aimes. » (Jean/Iohanan17, 23).

    Il en est de même du terme "Adonaï" traduit par Kuryos dans les Septante, et en français Seigneur. D’après le Strong Hebrew Dictionary, le nom "Ba’al", en hébreu :בַּעַלבָּעַל’alBá’alal signifie, et tenez vous bien, "Seigneur" ! On comprend maintenant la signification du nom du souffle contaminé Ba’al Zeboul, le "Seigneur du fumier ou le Seigneur des ordures" cité dans l’Annonce de Matyah(Matyah/matthieu.10, 25). Zeboul signifiant fumier ou ordures !

    A la suite de Ptolémée II Philadelphe l’incestueux qui initia la traduction grecque de la bible hébraïque, sinon la substitution d’Elohîm par Zeus, Antiochos IV Epiphane, roi de Syrie, en l’an -167, poussa la hardiesse plus loin en dressant dans le Sanctuaire de Iéroushalaïms la statue de Zeus Olympien.

    Antiochos IV Epiphane, image "ancien testamentaire" de l’Anti-messie, assassina dans le passé, tous les Juifs fidèles à la Tora d’Elohîm qui refusaient d’apostasier et d’helléniser en Judée.

     

    Zeus Olympien aujourd’hui travesti sous les oripeaux de Dieu est l’horreur dévastatrice dont avait parlé l’Adon Iéshoua le messie: « Quand donc vous verrez l'horreur dévastatrice dont a parlé Daniél l'inspiré, debout dans le lieu sacré - qui lit réalise !» (Matyah/ Matthieu 24, 15).

     

    Il apparaît également que le nom God (lire ga :d), équivalent de Dieu en anglais, est un des noms de la planète Jupiter. God-Gad est, on se rend compte, la divinité cité par Yeshayahou dans cet extrait qui suit :

     

    « Mais vous abjurateurs de Adonaï IHVH, qui oubliez le mont de mon Sanctuaire, qui préparez une table pour Gad, qui remplissez une mixture pour Meni. »(Yeshayahou/Esaïe 65, 11). 

    La substitution d’Elohîm par Zeus-Theos-Deus-Dieu-God dans les bibles usuelles, est la manifestation évidente du souffle de l’erreur, de l’apostasie. 

    Les vrais adorateurs, ceux que cherche Elohîm, se prosternent devant Lui dans le souffle et dans la vérité. Pas dans le mensonge, ni dans l’erreur ou dans l’à peu près et encore moins dans les compromis selon qu’il est écrit :

    « L’heure vient, c’est maintenant, où ceux qui se prosternent en vérité se prosterneront devant le père dans le souffle et la vérité. Oui, le père cherche ceux qui se prosternent ainsi. Elohîms est souffle: ceux qui se prosternent devant lui doivent se prosterner dans le souffle et la vérité. » (Iohanan/Jean.4 23-24).

    Ou encore ses paroles de Iohanan, extraite du Découvrement :

     « J’en témoigne moi-même à tout entendeur des paroles de l’inspiration de ce volume, si quelqu’un y ajoute, Elohîms lui ajoutera les plaies décrites dans ce volume. Si quelqu’un enlève des paroles du volume de cette inspiration, Elohîms lui enlèvera sa part de l’arbre de la vie, et de la cité du sanctuaire, selon ce qui est décrit dans ce volume.» (Découvrement/Apocalypse 22, 18-19).

     

    En retranchant Elohîm et Iéshoua Ha Mashiah des Ecrits bibliques, les traducteurs de la version des Septante et de la Vulgate empêchent visiblement le lecteur de leur traduction de se prosterner devant le Suprême dans le souffle et la vérité.

    Or, la connaissance de la vérité est ce qui rend l’homme véritablement libre. Ce n’est pas l’Adon Iéshoua qui nous dira le contraire : « Si vous, vous demeurez dans ma parole, la mienne, vous êtes en vérité mes adeptes. Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. »(Iohanan/Jean.8, 31-32).  

    Conduire les adeptes dans toute la vérité, est l’une des missions principales du Réconfort, du Souffle sacré : « Mais quand celui-ci viendra, lui, le souffle de vérité, il vous fera cheminer dans la vérité tout entière. » (Iohanan/Jean 16, 13).

    Comment se prosterner alors devant le Sacré d’Israël dans le souffle et LA VERITE, si les noms qui nous ont été donnés sont erronés ?

    Dans les Septante, il a été attribué au Sacré d’Israël de faux noms comme Jéhovah Jiré, Jah, oubliant qu’en hébreu la lettre "J" n’existe pas. Il va s’en dire que les noms Jésus, Josué ou encore Joshua sont eux aussi mensongers. Les noms des villes, des lieux et des autres personnages bibliques n’ont pas été épargnés. Ils ont été eux aussi fortement hellénisés. Le message biblique, c’est le moindre qu’on puisse dire, a été hautement deshébraïsé, dilué. Manifestement il y a tromperie !

    Nous avons ainsi appris de la Vulgate, sinon du catholicisme romain, la mère de toutes les autres dénominations, que le Créateur de l’univers s’appelait Dieu et que son fils unique était Jésus-Christ. Mais aussi que l’Eglise, le parallèle gréco-romain de la Communauté des Consacrés au Suprême, remplace le peuple Juif comme peuple "élu". Que le Souffle sacré, le souffle de vérité était le Saint-Esprit, le remake du Spenta Mainyu, le feu éternel Esprit Saint du zoroastrisme.

    Prétextant actualiser les Ecrits sacrés, les exégètes de la critique textuelle ont volontairement procédé à des retraits, à des approximations et à des remplacements apparemment sans grandes conséquences, qui dénaturent de façon subtile, le message biblique. Conséquences : nous avons sur le marché des bibles corrompues, pourries,  éditées à dessein et qui contribuent plus que jamais à éloigner l’humanité d’Elohîm et de son Messie. En un mot de la vérité.

    Combien savent que leurs chères et tendres saintes bibles sont tronquées, corrompues et truffées d’erreurs ? Les Septante et la Vulgate ont ainsi jeté bases de l’apostasie, le souffle de l’erreur, ce courant post-messianique censé préparer une atmosphère favorable à l’avènement du règne de la Bête sur terre."

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "Les pensées, au coeur de l'homme sont multiples, mais c'est le conseil de YHWH qui se réalise. "  Mishléi (Proverbes) 19 : 21

    "Travaillez, non pour l’aliment qui périt, mais pour l’aliment qui demeure pour la vie en pérennité, celui que le fils de l’homme vous donne. Oui, celui-là, le père, Elohîms l’a marqué d’un sceau. "

    Iohanân (Jean) 6 : 27 

     "…..Aussi ne vous inquiétez pas en disant : ‹ Que mangerons-nous ? › ou ‹ Que boirons-nous ? › ou ‹ Comment nous vêtirons-nous ? ›. Oui, de tout cela les goîm sont en quête ; or il sait, votre père des ciels, que vous avez besoin de tout cela.  Mais cherchez en premier le royaume d’Elohîms et sa justice. Tout cela vous sera ajouté." Matyah (Matthieu) 6 : 31-33

    Lorsque nous méditons les textes cités ci-dessus, il est important pour nous de comprendre que ce n’est pas la course aux diplômes, la course à la gloire dans les choses du monde, la recherche effrénée de l’argent et les choses semblables, qui devraient constituer l’objectif à atteindre pendant notre pèlerinage terrestre.

    Il n' y a pas de calcul avec Elohîm, tout est grâce selon son dessein. Si nous ne nous conformons pas à son dessein, nous ne pouvons pas comprendre sa puissance et son amour. L’école ne sert à rien, les études sont vaines, car ce monde est d’avance voué à la destruction selon le dessein de Elohîm El-Shaddaï.

    "Or le jour de l’Adôn viendra comme un voleur; et, dans ce jour-là, les cieux passeront avec un bruit sifflant, et les éléments brûlant de chaleur seront dissous, et la terre et les œuvres qui sont en elle seront brûlées entièrement. Toutes ces choses devant donc se dissoudre, quelles [gens] devriez-vous être en sainte conduite et en piété, attendant et hâtant la venue du jour de Elohîm, à cause duquel les cieux en feu seront dissous et les éléments brûlant de chaleur se fondront. Mais, selon sa promesse, nous attendons de nouveaux cieux et une nouvelle terre, dans lesquels la justice habite." 1Petros 3: 10-13

    Nous devons donc comprendre qu’au lieu de nous laisser entraîner par les convoitises qu’offre un monde qui va périr, nous devrions plutôt travailler à être des concitoyens du royaume des cieux à venir,  œuvrer pour faire partie de la race des bénéi (fils de) Elohîm. Pour faire partie de ce peuple mis a part qui demeure en pérennité, il faut que nous renaissions d’en haut. Oui cher ami, il faut renaître d’en haut. Et comment donc renaître d’en haut? En mangeant le pain de vie qui est descendu du ciel.

    "Iéshoua’ leur dit : « Amén, amén, je vous dis, ce n’est pas Moshè qui vous a donné le pain du ciel ; c’est mon père qui vous donne le pain du ciel, le vrai. Oui, le pain d’Elohîms, c’est celui qui descend du ciel et donne vie à l’univers. »  Ils lui disent donc : Adôn, donne-nous toujours de ce pain. » Iéshoua’ leur dit : « Moi, je suis le pain de la vie. Qui vient vers moi n’aura plus faim ; qui adhère à moi n’aura plus soif, jamais." Iohanân 6 : 32-35

    Le Mashiah Yeshoua est le pain vivant qui est descendu du ciel.  C’est cet enseignement au centre de l’écriture sainte qui devrait attirer toute notre attention. Or prenez garde : le pain dont il est question ici n’est pas l’eucharistie, ni la sainte cène, ni l’immersion pentecôtiste. Il s’agit ici de la semence d’Israël, la parole à l’origine de toute vie.

    "Vous avez été régénérés par une semence, non pas corruptible, mais incorruptible, à travers la parole d’Elohîms, vivante, qui demeure…" 1Petros 1 : 23

    "Pourquoi pesez-vous de l’argent contre un non-pain, vous lassez-vous pour la non-satiété ? Entendez, entendez-moi et mangez bien ; votre être se délectera de graisses. Tendez votre oreille, allez vers moi ; entendez, votre être vivra." Iesha‘yahou (Esaïe) 55 : 2-3

    La parole de Elohîm ne se trouve pas dans les aliments (cène), ni dans l’eau du baptême. La parole de Elohîm est souffle, elle ne peut être portée que par le souffle sacré.

    "Non que nous soyons capables de rien estimer comme venant de nous, toute notre capacité ne venant que d’Elohîms, qui nous a rendus capables de servir le pacte neuf, non par la lettre, mais par le souffle, car la lettre tue, mais le souffle vivifie." 2Corinthiens 3 : 5-6

    Il est donc aisé de comprendre que, ce qu’il faut rechercher dans la vie, c’est de manger le pain vivant qui est descendu du ciel.

    Tout ce qui ne concours pas à cet objectif arrêté par Él’Éliôn l’Él Suprême, n’est qu’un leurre. Si nous ne renaissons pas d’en haut, nous ne pouvons pas discerner ce qui est pur de ce qui est impur aux yeux de notre créateur, nous ne pouvons pas adorer Elohîm en vérité, nous ne pouvons pas être exaucés dans nos prières parce que nous sommes aveugles et ne pouvons discerner le vouloir de Él’Éliôn.

    Si nous adhérons à l’écriture sainte (textes sacrés d’Israël de souffle), cessons de nous laisser entraîner par le courant de cet univers. Fuyons l’aliénation dans laquelle la putain - babel la grande -retient captif tous les peuples de cette terre. Désolidarisons-nous du monde. Vidons-nous de nous-mêmes. Cessons de prendre nos pensées pour la parole de Elohîm tout en nous autoproclamant pasteur, évêque, prophète de Elohîm. Fuyons les faux inspirés, sortons du milieu d’eux.

    Agenouillons-nous devant l’Elohîm d’Israël et crions à lui afin qu’il répande de nouveau son souffle (sa parole) de vérité dans l’univers.

    Il n’y a rien de plus grand, rien de plus exaltant, rien de plus merveilleux, rien de plus sublime, que d’être en présence de l’envoyé/inspiré/messager de YAH Adonaï Elohîm Ha Haïm.

    Les projets de l’homme échouent, seul le dessein de Elohîm se réalise. Les desseins de Elohîm sont révélés à travers son dire (sa parole qui est souffle de vérité). Or il n’y a que son envoyé qui puisse nous porter son dire, et nul autre.

    "Amén, amén, je vous dis : qui reçoit celui que j’ai envoyé me reçoit moi-même. Et qui me reçoit, reçoit qui m’a envoyé." Iohanân 13 : 20 

    Et le dire de Elohîm ne se limite pas à l’écriture sainte qui n’est qu’un pan de sa parole. Son dire est infini. Au temps de renouvellement de toutes choses, l’écriture sainte ne sera plus, pourtant la parole de Elohîm demeure en pérennité.

    A travers son envoyé, Elohîm peut nous faire comprendre non seulement les choses qui sont dites dans l’écriture sainte (et qui sont voilées à nos yeux), mais aussi nous révéler des choses cachées qui ne sont pas mentionnées dans les textes sacrés. Et tout ceci contribue à nous faire connaître le dessein du Suprême pour que nous nous y conformions. C’est cela la foi, qui n’est nullement l’acceptation de ce qui est écrit, mais plutôt la capacité à discerner les desseins de Elohîm et de s’y conformer. Or qui peut nous rendre capables de comprendre les desseins de l’Él Suprême si ce n’est lui-même ? Aussi devons-nous comprendre qu’il est primordial de rechercher l’aliment qui est pur et que seul Elohîm peut nous donner.

    "Gardez-vous des faux inspirés ! Ils viennent vers vous en vêtements de brebis, mais au-dedans ce sont des loups voraces. C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. Des raisins se cueillent-ils sur des épines ? Ou des figues sur des ronces ? Un bon arbre ne peut faire de mauvais fruits, ni un arbre pourri faire de beaux fruits. Ainsi, tout arbre bon fait de beaux fruits ; mais un arbre pourri fait de mauvais fruits. Tout arbre qui ne fait pas de beaux fruits est coupé et jeté au feu. Ainsi, c’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez." Matyah 7 : 15-20

     "Aimés, n’adhérez pas à tout souffle, mais éprouvez si les souffles sont d’Elohîms, car beaucoup de pseudo-inspirés sont venus dans l’univers. En ceci vous pénétrez le souffle d’Elohîms : tout souffle qui atteste Iéshoua , le messie, venu dans la chair, est d’Elohîms. Et tout souffle qui n’atteste pas Iéshoua’ n’est pas d’Elohîms ; il est de l’anti-messie, dont vous avez entendu qu’il vient et qu’il est déjà dans l’univers." 1Iohanân 4:1-3

    Comment distinguer un souffle qui atteste le Messie Yeshoua ?

    • Il est discernable par ses œuvres, œuvres préparées d'avance par le Père .......
    • Il marche sur les traces de son Adôn....
    • Il porte le dire de Adonaï poussé par le souffle sacré et non par des balbutiements d’homme...
    • Son dire est spécifique et spontané. Il ne s’appuie nullement sur des thèmes préconçus de la sagesse d’homme, mais fait une démonstration de souffle et de puissance. A travers la sagesse de son langage, l’on contemple celui qui agit en lui (le souffle sacré).....
    • Les signes de Elohîm l’accompagnent…..
    • Il n’a pas besoin de mener des études littéraires pour connaitre le nom du Père et de l’Adôn. Le nom de celui qui l’envoie lui est révélé et il le fait connaître aux ovins du pâturage d’Elohîm……
    • Il fait les œuvres au nom (par le pouvoir et l’autorité) de celui qui l’a envoyé ….
    • Il n’enseigne pas la philosophie……
    • Il n’est pas du monde. Vous ne le verrez jamais en train de prendre part aux projets humains…
    • Il annonce le royaume des cieux……
    • Il porte le dire de Adonaï, donnant la vie aux uns, et suscitant la mort chez d’autres…….
    • Il plonge (immerge) les ovins dans le même univers que celui dans lequel étaient plongés les premiers talmidims (adeptes) du Mashiah Yeshoua. Faisant en sorte que ce que nous lisons dans les textes saints ne paraissent plus comme un mythe à nos yeux, mais deviennent réalité…….
    • Il nous fait comprendre les textes sacrés sans aucune ambiguïté, il corrige ce qui est tordu ; il est plein de sagesse pour nous faire comprendre les desseins du Suprême……
    • Il a de beaux pieds, le véritable homme de Elohîm.

     

    "Maintenant, comment l’appelleraient-ils s’ils n’adhèrent pas à lui ? Et comment adhéreraient-ils à lui s’ils ne l’entendent pas ? Et comment l’entendraient-ils si personne ne le proclame ? Et comment le proclamer, sinon par des envoyés, comme il est écrit : « Qu’ils sont beaux les pieds des annonciateurs du bien ! »" 

    Romains 10 : 14-15 

     

    "Nous ne voyons pas nos signes, il n’est plus d’inspiré; et nul parmi nous ne sait jusqu’où ?N’oublie pas la voix de tes oppresseurs, le tumulte de tes assaillants, qui monte inexorablement."

    "Elohîms Sebaot, fais-nous retourner, illumine tes faces; nous serons sauvés !"

    "Que ta main soit sur l’homme, ta droite sur le fils de l’humain que tu as affermi !"

     

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Gardons-nous des faux inspirés!!!

    Irmeyahou (Jérémie) 23 : 16-32

     

    16 Ainsi a dit [YHWH] des armées : n'écoutez point les paroles des Prophètes qui vous prophétisent ; ils vous font devenir vains, ils prononcent la vision de leur coeur, [et] ils ne [la tiennent] pas de la bouche de [YHWH].

     

    17 Ils ne cessent de dire à ceux qui me méprisent : [YHWH] a dit : vous aurez la paix ; et ils disent à tous ceux qui marchent dans la dureté de leur cœur : il ne vous arrivera point de mal.

     

    18 Car qui s'est trouvé au conseil secret de [YHWH] ? et qui a aperçu et ouï sa parole ? qui a été attentif à sa parole, et l'a ouïe ?

     

    19 Voici la tempête de [YHWH], sa fureur va se montrer, et le tourbillon prêt à fondre tombera sur la tête des méchants.

     

    20 La colère de [YHWH] ne sera point détournée qu'il n'ait exécuté et mis en effet les pensées de son coeur ; vous aurez une claire intelligence de ceci sur la fin des jours.

     

    21 Je n'ai point envoyé ces Prophètes-là, et ils ont couru ; je ne leur ai point parlé, et ils ont prophétisé.

     

    22 S'ils s'étaient trouvés dans mon conseil secret, ils auraient aussi fait entendre mes paroles à mon peuple, et ils les auraient détournés de leur mauvais train, et de la malice de leurs actions.

     

    23 Suis-je un Elohîm de près, dit [YHWH], et ne suis-je point aussi un Elohîm de loin ?

     

    24 Quelqu'un se pourra-t-il cacher dans quelque retraite, que je ne le voie point ? dit [YHWH]. Ne remplis-je pas, moi, les cieux et la terre ? dit  [YHWH].

     

    25 J'ai ouï ce que les Prophètes ont dit, prophétisant le mensonge en mon Nom, [et] disant : j'ai eu un songe, j'ai eu un songe.

     

    26 Jusques à quand ceci sera-t-il au cœur des Prophètes qui prophétisent le mensonge, et qui prophétisent la tromperie de leur cœur ?

     

    27 Qui pensent comment ils feront oublier mon Nom à mon peuple, par les songes que chacun d'eux récite à son compagnon, comme leurs pères ont oublié mon Nom pour Bahal.

     

    28 Que le Prophète par devers lequel est le songe, récite le songe ; et que celui par devers lequel est ma parole, profère ma parole en vérité. Quelle [convenance y a-t-il] de la paille avec le froment ? dit [YHWH].

     

    29 Ma parole n'est-elle pas comme un feu, dit [YHWH] ; et comme un marteau qui brise la pierre ?

     

    30 C'est pourquoi voici, j'en veux aux Prophètes, dit [YHWH], qui dérobent mes paroles, chacun de son prochain.

     

    31 Voici, j'en veux aux Prophètes, dit [YHWH], qui accommodent leurs langues, et qui disent : il dit.

     

    32 Voici, j'en veux à ceux qui prophétisent des songes de fausseté, dit  [YHWH], et qui les récitent, et font égarer mon peuple par leurs mensonges, et par leur témérité, quoique je ne les aie point envoyés, et que je ne leur aie point donné de charge ; c'est pourquoi ils ne profiteront de rien à ce peuple, dit [YHWH].

     

    "Car mon peuple a fait deux maux ; ils m'ont abandonné, moi [qui suis] la source des eaux vives, pour se creuser des citernes, des citernes crevassées qui ne peuvent point contenir d'eau." Irmeyahou 2 : 13

     

    "Nous ne voyons pas nos signes, il n’est plus d’inspiré; et nul parmi nous ne sait jusqu’où ?N’oublie pas la voix de tes oppresseurs, le tumulte de tes assaillants, qui monte inexorablement."

    "Elohîm Sebaot, fais-nous retourner, illumine tes faces; nous serons sauvés !"

    "Que ta main soit sur l’homme, ta droite sur le fils de l’humain que tu as affermi !"

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • 1.     Au chorège. Sur les lotus. Témoignage. D’Assaph. Chant.

    2.     Pâtre d’Israël, écoute ! Toi qui conduit Iosseph comme un ovin, assis sur les keroubîm, resplendis !

    3.     En face d’Èphraîm, de Biniamîn, de Menashè, éveille ton héroïsme et va, pour notre salut !

    4.     Elohîm, fais-nous retourner; illumine tes faces, nous serons sauvés !

    5.     IHVH-Adonaï, Elohîm, Sebaot, jusqu’à quand fumeras-tu contre la prière de ton peuple ?

    6.     Tu les as nourris au pain de larmes, abreuvés aux larmes d’une jauge.

    7.     Tu nous mets en querelle pour nos voisins; nos ennemis se moquent de nous.

    8.     Elohîm Sebaot, fais-nous retourner, illumine tes faces; nous serons sauvés !

    9.     Une vigne de Misraîm, tu l’as fait partir; tu as expulsé des nations et l’as plantée.

    10.     Tu as bêché en face d’elle. Elle a enraciné ses racines, elle a rempli la terre.

    11.     Les montagnes se sont couvertes de son ombre, ses rameaux étaient des cèdres d’Él.

    12.     Elle envoyait ses moissons jusqu’à la Mer, et vers le Fleuve ses surgeons.

    13.     Pourquoi as-tu fait brèche en ses clôtures ? Ils l’égrappent, tous les passants de la route.

    14.     Il la ronge, le sanglier de la forêt, le grouillement du champ la pâture.

    15.     Elohîm Sebaot, retourne donc; regarde des ciels et vois, sanctionne cette vigne,

    16.     la souche que ta droite a plantée, le fils que tu as affermi !

    17.     Incinérée au feu, rasée ! À la menace de tes faces, ils perdront !

    18.     Que ta main soit sur l’homme, ta droite sur le fils de l’humain que tu as affermi !

    19.     Nous ne reculerons pas loin de toi; fais-nous vivre; ton nom, nous le crierons !

    20.   IHVH-Adonaï Elohîm Sebaot, fais-nous retourner; illumine tes faces, nous serons sauvés !

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

    Perspicace. D’Assaph.

    1. Pourquoi, Elohîm, négliges-tu avec persistance ? Ta fureur fume contre les ovins de ton pâturage. 
    2. Souviens-toi de ta communauté, que tu as achetée, jadis. Tu as racheté le rameau de ta possession, ce mont Siôn où tu demeures. 
    3. Soulève tes pas sur les ruines persistantes, contre tout le mal de l’ennemi, au sanctuaire.
    4. Tes oppresseurs ont rugi au sein de tes rendez-vous; ils ont mis leurs signes pour signes
    5. Il est connu pour avoir porté haut les haches au hallier des arbres. 
    6. Et maintenant, tous ses reliefs, ensemble, tous à massue et martoire, ils les martèlent. 
    7. Ils répandent le feu dans ton sanctuaire; à terre ils profanent la demeure de ton nom. 
    8. Ils disent en leur coeur: « Sévissons contre eux ensemble. » Ils incendient tous les rendez-vous d’Él sur terre. 
    9. Nous ne voyons pas nos signes, il n’est plus d’inspiré; et nul parmi nous ne sait jusqu’où ?... 
    10. Jusqu’à quand, Elohîms, flétrira-t-il, l’oppresseur ? L’ennemi outragera-t-il ton nom avec persistance ? 
    11. Pourquoi fais-tu retourner ta main, ta droite ? De tes entrailles, achève, 
    12. Elohîm, mon roi dès jadis; oeuvre aux saluts des entrailles de la terre
    13. Toi, tu déchiras la mer par ton énergie; toi, tu brisas les têtes des crocodiles sur les eaux. 
    14. Toi tu fracassas les têtes du Leviatân tu le donnas en nourriture au peuple des regs. 
    15. Toi, tu fendis la source et le torrent; toi, tu asséchas les fleuves pérennes. 
    16. À toi le jour, à toi la nuit aussi; toi tu as préparé le lustre et le soleil. 
    17. Toi, tu fixas toutes les frontières de la terre; l’été, l’hiver, toi, tu les formas. 
    18. Mémorise cela: l’ennemi a outragé, IHVH-Adonaï; le peuple veule a exécré ton nom
    19. Ne donne pas l’être de ta tourterelle à l’animal; n’oublie pas avec persistance la vie de tes humiliés
    20. Regarde le pacte: oui, les opacités de la terre sont remplies d’oasis de violence
    21. Le contrit ne retourne pas dans l’opprobre; l’humilié, le pauvre louangent ton nom. 
    22. Lève-toi, Elohîm, combats en ton combat; le veule, tout le jour. 
    23. N’oublie pas la voix de tes oppresseurs, le tumulte de tes assaillants, qui monte inexorablement.

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • " Vous au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation kodèsh, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière."

    (1Petros 2 : 9).

    Où se trouve aujourd'hui la véritable Quéhiyllah (Assemblée) de YHWH Adonaï Elohîm, le kodèsh d’Israël ?

    • Cette merveilleuse assemblée décrite dans le texte kodèsh cité ci-dessus!
    • Cette Assemblée sur laquelle le Créateur de l'univers veille personnellement, et qu'Il dirige par l'intermédiaire de son Fils Yéshoua le Messie!
    • Cette Assemblée qu'Il nourrit, qu'Il instruit et qu'Il guide!
    • Cette Assemblée qui annonce les vertus de Elohîm si grand et merveilleux, plein d'amour et de miséricorde!

    Vous êtes-vous déjà posé la question ?

    Je vous invite à un éveil de conscience en scrutant mon ouvrage titré "Où est la Voie Kodèsh?"

    Bonne lecture et bonne méditation.

     

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique